Page:Latil - Les Éphémères, 1841.djvu/54

Cette page n’a pas encore été corrigée



 
C’est celle dont jadis la vaporeuse image
M’apparut en fuyant, comme un léger nuage
Glisse en un ciel d’azur…
(A. J. Guirot)

Bientôt j’irai dormir d’un sommeil sans alarmes ;
Heureux si, dans la nuit dont je serai couvert,
Un œil indifférent donne en passant des larmes
À mon luth oublié, sur mon tombeau désert !
(V. Hugo)