Page:Latil - Les Éphémères, 1841.djvu/163

Cette page n’a pas encore été corrigée

 
Vous qu’un heureux destin attache à Mandeville,
Furtunée oasis, frais et riant asile
Orné de toutes parts d’ombrages et de fleurs,
Bosquet où l’on respire un parfum de pinière
Qu’apporte, en murmurant, la brise journalière
De ces lieux charmants, enchanteurs ;