Page:Latil - Les Éphémères, 1841.djvu/111

Cette page n’a pas encore été corrigée

 
Tu me disais, un jour, avec ton doux sourire,
Qui peint si bien ton âme où la beauté respire,
Tu me disais : « Ami, fais donc une chanson !
« Tu prodigues tes chants, et jamais aucun son
« Ne s’échappe pour moi de ta lyre plaintive ! »
Et moi, je t’écoutais d’une oreille attentive ;