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Alphonse le regarda avec empressement, et le baisa.

« Pardonne-lui, grand Dieu ! » s’écria-t-il.

Un petit ruban étoit attaché au portrait. Il le passa autour de son col, et plaça le portrait sur sa poitrine. Puis il reprit :

« Repose ici en paix ; et puissent, ô ! mon père ! ô ma mère ! vos ombres vénérées, être un jour unies dans un monde plus heureux, comme vos images le sont maintenant dans mon cœur. »