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A MONSIEUR LOUIS VESTREPAIN.


Monsieur,

J'accepte, avec plaisir, la dédicace que vous m'offrez de votre Recueil de poésies en idiome toulousain.

Je connais depuis longtemps les vers qui doivent composer ce Recueil. Je les relirai, avec un nouvel empressement, maintenant qu'ils vont être réunis en un volume.

Vos Fleurs isolées ont obtenu l'accueil le plus flatteur, j'espère le même succès pour la collection de vos Épis ou de vos glanes.

Agréez, Monsieur, l'assurance de mes sentiments très distingués.


A. Moquin-Tandon.


Paris, le 15 février 1860.