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32 DU NOM OU SUBSTANTIF.

tante. — Les terres ont, dans l'hémisplière (boréal) de notre globe, une plus vaste étendue f|ue dans l'hémisphère (auslral). — L'obélisque aujour- d'hui [érigé] sur la place de la Concorde à Paris, a été (transporté) eu France de l'antique terre des Pharaons. — Les obus lurent (employé) pour la première fois par les Français, en 1693, à la bataille de Nerwinde *. — A Paris, les (premier) omnibus furent (établi) sous la Restauration *.

8. C'est toujours un magnifique spectacle que celui de l'atmosphère /embrasé) par les rayons du soleil levant ou par ceux du soleil couchant.

— Les simples * sont surtout (récolté) dans les pays boisés et montagneux.

— Les dindes constituent un mets des plus recherchés, quand (ils ou elles) sont (succulent) et (parfumé) de truffes. — Le blé engrangé lorsqu'il est encore humide peut occasionner des incendies (spontané). — (Le ou la) réglisse (vendu) en France nous est (apporté) de Calabre ' et d'Espagne. — Les Romains portèrent leurs aigles (triomphant) jusque dans les sombres forets de la Germanie* — Les poètes font souvent allusion à l'aigle (im- périeux) planant au haut des cieux. — Suivant les anciens, (le ou ia) foudre •que lançait Jupiter était (formé) de trois rayons de grêle, trois de pluie trois de feu et trois de vent.

3. Les personnes aimables ont toujours un (gracieux) souris sur les lèvres. — Des souris (malencontreux) ont dévoré notre linge. — Les alchi- mistes s'occupaient uniquement (rfu, de la) (grand) œuvre, c'est-à-dire d'uu moyen propre à transformer en or les métaux les plus vils. — Il y a sou- vent une grande différence de mérite entre (le, la) (premier) œuvre d'un compositeur et (le, la) (demie/'). — Que de gens aujourd'hui bien (portant', auront cessé de vivre dans (un, ?«;ie) couple d'années. — (C'n, une) couple de pigeons suffit pour repeupler un colombier. — Les mémoires des entre- preneurs sont ordinairement (soumis) à la vérification d'un architecte.

4. Les mémoires les plus (heureux) ne sont pas toujours l'indice d'une vaste intelligence. — Il y a dans ce palais de (grand) et (beau) offices. — (Le la) remise que j'ai (loué) est-(i7, elle) déjà à ma porte '? — On se sert do la pâte d'(amande) pour adoucir la peau des mains. — Nous avons acheté pour le déjeuner deux beaux pâtés de (lièvre). — Le bouillon de (grenouille) est recommandé aux convalescents. — Nous avons admirablement réussi nos conserves d'(asperye).

5. De toutes les huiles, celle d'(o/ii'c) est la plus estimée. — Le potage au coulis d"(ec;-ei'(Sîe) est un mets délicieux. — Les marchands de (poisson) emploient la glace pour conserver leurs marchandises. — La fécule de (pomme de terre) est aujourd'hui employée à une foule d'usages. — Le pla- teau Hispanique* nourrit de nombreux troupeaux de (mouton). — Les mar, chauds de (cidre) vont s'api)rovisionner en Normandie*. — Nous dispose- rons des pots de (fleur) do chaque côté du perron. — l.,a gelée de (groseille) est rafraîchissante. — La chèvre broute les touffes d'{herbe) qui croissent dans les fentes des rochers.

6. Les (basse-cour) doivent être vastes, aérées et plantées de quelques arbres. — J'ai égaré mes deux (passe-partout). — Les (irnsseport) sont sup- primés entre la France et la Belgique. — Les maisons de jeu sont de véritables (coupe-gorge). — Les (coupe-racine) sont des instruments propres à coui)er en tranches plus ou moins minces les racines charnues. — Les (contre-pnison), pour Hro efficaces, doivent être administres le plus tôt possible. — Les (hausse-col) sont des plaq\ies dorées en forme de croissant, que les officiers d'infanterie portaient au-dessous du cou. — ].cs Ipot-nu-feu) ne sont pas si nourrissants qu'on le suppose d'ordinaire. — Les (porte- clef) sont des employés faisant le service dos prisons.

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