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IV
Asile
À mon ami Amédée Hennequin.
Non, le fatal ennui qui nous pousse au blasphème
Ne sera pas vainqueur !
Pour échapper au monde et pour me fuir moi-même,
J’ai des ailes au cœur.
Je conserve immortels l’amour de la nature,
Votre amour, ô mon Dieu !
Ce double asile, ouvert aux peines que j’endure,
Me reçoit en tout lieu.
L’homme sur votre nom, que l’univers atteste,
A répandu sa nuit :