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qui ne diffère de l’équation (S’) qu’en ce que se change en d’où l’on voit que, à ce changement près, le cas de quelconque rentre dans celui de ce qui s’accorde avec ce que nous avons trouvé dans l’article IX.

XXIV.

Considérons maintenant le cas de la Nature, dans lequel n’est pas nul. Au lieu de chercher à ramener, comme dans le cas précédent, la détermination des oscillations du fluide à une seule équation différentielle, il est plus simple de considérer les équations (6), (7) et (9) de l’article XXII, dont elles dépendent, sous cette forme

étant égal à étant égal à et étant égal a

Pour satisfaire à ces équations, supposons

et étant des coefficients constants quelconques, et étant des fonctions de seul. Les trois équations précédentes donneront, cela posé, les suivantes :

(Z)