Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 9.djvu/146

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

quelconques de la troisième des équations donnera, en l’intégrant une fois par rapport à

étant une constante arbitraire qui peut être fonction quelconque de si l’on substitue, au lieu de et ces valeurs dans l’équation

et que l’on compare séparément les coefficients de et on verra facilement que les valeurs trouvées dans l’article précédent, pour et ϐ, ne peuvent satisfaire aux équations de condition qui en résultent ; d’où il suit que les deux termes et ϐ sont uniquement dus à l’action de l’astre et qu’ils doivent conséquemment être admis. Partant, si dans l’expression

de il y a quelques termes à rejeter, ils ne peuvent se rencontrer que parmi ceux de la quantité pour déterminer ces termes, supposons et quelconque dans la seconde des deux équations si au lieu de on y substitue et que l’on observe que la quantité ne devant renfermer que des quantités périodiques, afin que reste toujours de l’ordre comme nous le supposons ici, ne doit renfermer aucun terme qui soit fonction de seul, on aura

mais, par la nature de on a