et étant des quantités périodiques ou qui ne renferment point d’arcs de cercle. Or, si l’on nomme la distance réelle de la planète à son aphélie, les angles compris à l’origine du mouvement entre les projections des planètes et la ligne fixe d’où l’on commence à compter les longitudes, on aura, en négligeant les quantités de l’ordre
de plus, on a, par l’article IX,
donc
or on a (art. XIV)
donc
on aura ainsi
on a de plus, en négligeant les quantités de l’ordre
Nommons ensuite les distances des nœuds de à la ligne fixe, à l’origine du mouvement, et nous aurons, en négligeant les quantités de l’ordre