et l’inclinaison des orbites des planètes),
et l’on aura les 
équations
![{\displaystyle {\begin{aligned}fb\ =&(0)b\ +b'\left[(0,1)-{\overline {(0,1)}}\right]+b''\left[(0,2)-{\overline {(0,2)}}\right]+\ldots ,\\fb'\,=&(1)b'\,+b\,\left[(1,0)-{\overline {(1,0)}}\right]+b''\left[(1,2)-{\overline {(1,2)}}\right]+\ldots ,\\fb''=&(2)b''+b\,\left[(2,0)-{\overline {(2,0)}}\right]+b'\,\left[(2,1)-{\overline {(2,1)}}\right]+\ldots ,\\\ldots &\ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \end{aligned}}}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/33578b6c698f9bfd3aebfe1b7e894b9c483bc6c2)
ou
![{\displaystyle (>)\left\{{\begin{aligned}0=&b\left[(0)\quad -\quad f\quad \right]+b'\left[(0,1)-{\overline {(0,1)}}\right]+b''\left[(0,2)-{\overline {(0,2)}}\right]+\ldots ,\\0=&b\left[(1,0)-{\overline {(1,0)}}\right]+b'\left[(1)\quad -\quad f\quad \right]+b''\left[(1,2)-{\overline {(1,2)}}\right]+\ldots ,\\0=&b\left[(2,0)-{\overline {(2,0)}}\right]+b'\left[(2,1)-{\overline {(2,1)}}\right]+b''[(2)\quad -\quad f\quad ]+\ldots ,\\\ldots &\ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \ldots \end{aligned}}\right.}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/beb048fc8a044d438d50acf884250bfc032cdd4f)
De ces équations on en tirera une en 
les géomètres ont donné pour cet objet des règles générales (voir l’Introduction à l’analyse des lignes courbes, de M. Cramer, et les Mémoires de l’Académie pour l’année 1764, p. 292) ; mais comme elles ne me paraissent avoir été jusqu’ici démontrées que par induction, et que d’ailleurs elles sont impraticables, pour peu que le nombre des équations soit considérable, je vais reprendre de nouveau cette matière, et donner quelques procédés plus simples que ceux qui sont déjà connus, pour éliminer entre un nombre quelconque d’équations du premier degré.
IV.
Je suppose que l’on ait, entre les inconnues 
les équations
