pourvu que, dans le second membre de cette équation, on applique à la caractéristique les exposants des puissances, et qu’on change les différences négatives en intégrales.
XIII.
Reprenons l’équation
ou
M. de Lagrange en conclut, en vertu de l’analogie des puissances et des différences,
or représente ici l’unité, plus la différence finie de lorsqu’on y suppose devenir cette équation renferme la théorie générale des interpolations, et elle est facile à démontrer par ce qui précède ; car, puisqu’on a
on aura
Donc, nommant la différence finie de lorsqu’on y suppose devenir on aura
étant des coefficients constants et indépendants de et de