étant ici une des valeurs de relatives au déplacement de l’orbite de Jupiter. Cette équation donne
et par conséquent, en n’ayant égard qu’aux valeurs de relatives au déplacement de l’orbite de Jupiter, on a
En réunissant ces valeurs aux précédentes, on aura
d’où il est facile de conclure
Or on a, par ce qui précède,
ce qui donne
partant,
On aura, au moyen de ces deux équations, l’excès de la précession vraie des équinoxes de Jupiter sur la précession moyenne, et l’inclinaison de son équateur au plan fixe.