est la même, puisqu’elle se rapporte à la même molécule ; on a donc
partant,
or on a
donc
et par conséquent
Le second membre de cette équation se réduit, en vertu de l’équation (8), au terme l’équation (9) devient donc
(10)
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Nous ferons abstraction ici de l’action des astres, pour ne considérer que l’action mutuelle des molécules de la mer et du sphéroïde terrestre. La valeur de est alors due à l’attraction d’une couche aqueuse dont, le rayon intérieur étant le rayon extérieur est étant à très-peu près égal à l’unité. On a vu, dans le no 2, que, étant sup-