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l’eau de pluie et dans l’eau de mer égales à et par seconde sexagésimale, en partant des expériences de Canton sur la compression de ces liquides et en n’ayant égard qu’à la diminution linéaire des dimensions du volume comprimé. J’ai reconnu qu’il faut considérer la diminution totale de ce volume, et qu’ainsi les nombres précédents doivent être divisés par ce qui les réduit à et en sorte que la vitesse du son dans l’eau douce est quatre fois et demie plus grande que dans l’air.


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