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THÉORIE DE JUPITER ET DE SATURNE.
On aura ensuite, par l’article XXV, la partie de qui dépend de l’angle en réduisant en parties du rayon la moitié du coefficient du terme
de l’expression de en la prenant avec le signe et en changeant le sinus en cosinus, on aura ainsi
pour la partie correspondante de Il faut, pour une plus grande exactitude, substituer dans ces différents termes de l’expression de au lieu de et de les longitudes moyennes corrigées par les grandes inégalités.
On déterminera le demi grand axe de l’orbite de Jupiter comme nous avons déterminé, dans l’article XL, le demi grand axe de l’orbite de Saturne, et l’on trouvera
LX.
Il ne s’agit plus que d’avoir les éléments elliptiques de l’orbite de Jupiter. Le plus important à déterminer avec exactitude est son moyen mouvement sidéral ; M. de Lambre a formé, pour cet objet, trente-deux équations de condition, analogues à celles que j’ai données dans l’article XLIII pour Saturne ; elles sont relatives aux oppositions des années
Ces oppositions, combinées deux à deux et dont les seize premières sont respectivement éloignées des seize dernières, de cinq, de dix et