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PREMIÈRE PARTIE. — LIVRE I.
l’état de l’équilibre, la somme des forces multipliées par les éléments de leurs directions est nulle, en vertu du principe des vitesses virtuelles ; ce qui distingue donc, à cet égard, l’état d’équilibre de celui du mouvement, est que la même fonction différentielle, qui est nulle dans l’état d’équilibre, donne, étant intégrée, un minimum dans l’état de mouvement.