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NOTES

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Page 182, 1. — Tous ceux qui ont vu les coiffures barbares de certaines femmes d’Afrique ou d’Orient avec des chaînettes pendant et sonnant le long des joues, et aussi sur les bas-reliefs d’Égypte ou d’Assyrie, ces têtes de chevaux si coquettement harnachées et parées, seront frappés par la justesse et la beauté de cette image.

Page 183, 2. — Certaines femmes d’Orient portent des sachets pour parfumer leur sein.

Page 205, 3. — Résidences des deux rois Israélites, à l’époque où le poème fut écrit.

Page 208, 4. — Il y a là, dans le texte hébreu, quelque lacune ou quelque altération, l’une et l’autre peut-être, et qui, selon M. Reuss, rendent à jamais impossibles la traduction et l’explication de ce passage. Nous avons, pour ce petit chant très obscur, suivi la traduction grecque, mais en adoptant pour le dernier vers l’interprétation de Bœteher, Esvald, Renan, et Ledrain, et en passant deux vers, qui certainement pour tous sont incompréhensibles.


Le Caire, 1884.