Page:Lahor - En Orient, 1907.djvu/100

Cette page n’a pas encore été corrigée

^>

J ’avais la foi jadis et n’ai plus que le doute ; Je me sens, pour agir, moins allègre et moins fort. L’arbre de la science est l’arbre de la mort, Et ses fruits sont amers à celui qui les goûte. ^ Sous les flots bleus dont rit et chante la surface » Si le plongeur, aux profondeurs du gouffre amer, Craint les monstres passant soudain devant sa face^ Il n’arrachera pas de perles à la mer»