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derniers vers
Qu’il faut être deux au coin du feu,
Tout bâcle un hymne fataliste,
Mais toi, il ne faut pas que tu t’abandonnes,
À ces vilains jeux !…
À ces grandes pitiés du mois de novembre !
Reste dans ta petite chambre,
Passe, à jamais glacée,
Tes beaux yeux irréconciliablement baissés.
Oh, qu’elle est là-bas, que la nuit est noire !
Que la vie est une étourdissante foire !
Que toutes sont créature, et que tout est routine !
Oh, que nous mourrons !
Eh bien, pour aimer ce qu’il y a d’histoires
Derrière ces beaux yeux d’orpheline héroïne,
Ô Nature, donne-moi la force et le courage
De me croire en âge,
Nature, relève-moi le front !
Puisque, tôt ou tard, nous mourrons…