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demandé pour quoy les Administrateurs qui avolent étés des tities avec le Maire, avoient s renvoyés de prét renos a es dernier Monsieur Chabot me répondit, qu’il avoit bien vouli faire grâce, notamment à Dardignac, Preiken : du direct ire qui en cette qualité avoit signé tous les Arraes Je lui témoignai mon éton. nement de ce qu’il s’arrogeoit le droit de fai e grace, Je li dit que rous navions pas détruit le Tyranir en remettre d’autres a la place, il me dit d’noncez-moi faites moi tradaire au fti- bunal Révolutionnaire ca m’est égal.il est bien étonnant lui dishà mitant lui și- qu’un homme qui se dit Patriote, le soit si peu dans ses acti- ons : vous êtes une Sociét : de femmes me dit-il qui voulez vous meter d’affaires et qu’on induis. à en erreur. Je lui fit ma premiere réponce que Jamais les Cajolleries ni les Assignats ne feraient courir les Revolutionnaires, nous ne nous intéressons qu’aux Oprimés et Je regarde le Maire comme une vicume qu’il vous plait de yous immoler, cela est si vrai, que vous avez fait offrir a son Neveu que vous connoissez pour un excellent Patriote, et qui de puis la disgrâce de son Oncle ne la pas quitté un seul instant vous lui avez dis-Je pour perdre l’Oncle avec plus de facilite fait offrir des places par trois fois pour l’éloigner de Paris, et ôter par la à l’oncle la seul consolation qui lui reste, est ce ai i que doivent se conduire des hom nes envers leur semblables. J’o e Yous assurer que si vous ne faittes pas rendre au Maire la Justice qu’il a lieu d’attendre, Je le présenterai moi-méme a la Barre de la Convention, et nous verrons si vous avez le droit, D’ictateur sans pouvoirs, de vous immoler des Patriotes tandis que tous les Jours les Centre Révolutionnaires sont favorisés par vous Yous préviens que si Je vais a la Barre Je dirai des verit’s qui ne seront pas a votre avantage ; alors Monsieur Chabor compo- sant son phiſique, se tournant vers moy avec un air tartufe et me