tes bras m’entourent, il me semble que je suis dans une forteresse dont personne n’ose approcher…
Une forteresse !… Ce n’est pas là la voix du sang. (Haut.) Et lui, l’aimes-tu ?
Qui ça ?
Aglaure… Pénuri !
Oh ! oui, il est si bon pour moi !
Ah !
Ce matin encore… ces vers qu’il m’a faits… ce magnifique présent… Et M. Isidore dit qu’il ne s’en tiendra pas là !…
Il ne s’en tiendra pas là ! c’est clair !…
Et puis il t’aime tant !… Il aime bien maman aussi…
C’est bon !
Mais je ne suis point ingrate, et involontairement, je me sens attirée vers lui !
Voilà… voilà la voix du sang ! (Haut.) Il n’y a plus à hésiter… Tu ignores les mystères de la vie parisienne !… Tu ne sais pas qu’il y a des tigres… qui viennent déposer leurs œufs dans le ménage des colombes !