Pardon !… pour moi, la langue française est une compatriote aimée… une dame de bonne maison, élégante, mais un peu cruelle… vous le savez mieux que personne.
Moi ?…
Et, quand j’ai l’honneur de la rencontrer à l’étranger… je ne permets pas qu’on éclabousse sa robe. C’est une question de chevalerie et de nationalité.
Ah çà ! monsieur, auriez-vous la prétention de me donner une leçon ?
Loin de moi cette pensée…
Ah ! ce n’est pas malheureux ! (À part.) Il recule.
Mais, sans vouloir vous donner une leçon, je viens vous demander poliment… une explication.
Mathieu !… c’est un faux commandant.
De deux choses l’une : ou vous persistez…
Je n’ai pas besoin de tous ces raisonnements. Vous croyez peut-être m’intimider ? Monsieur… j’ai fait mes preuves de courage, entendez-vous ! et je vous les ferai voir…
Où çà ?