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Horace.
Allons ! obéissance aux femmes ! (Bernard entre, il a un habit bourgeois un peu large, Horace le regarde en riant.) Ah ! te voilà, toi ?
Bernard, l’air épanoui.
Oui, mon capitaine.
Horace.
Comment va ton bras ?
Bernard, très heureux.
Ca me pique toujours.
Horace.
Pauvre garçon !… ce n’est pas ma faute.
Bernard.
Oh ! je ne me plains pas… au contraire… je voudrais que ça me pique toute la vie.
Horace.
Godiche ! qui ne sait pas parer quarte !
Bernard.
Oh ! ce n’est pas ça, capitaine… mais, dans ce moment-là, j’éprouvais une telle joie… j’étais si heureux… je ne pensais pas à parer, allez !
Horace.
Brave garçon ! Voyons ! es-tu bien ici ?