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Et M. Michel Bréal :

« Il faut apprendre :

1o Le français ; 2o l’anglais.

Avec cela on est sûr de se faire entendre partout. »

(ibid).

M. Casartelli, évêque de Salferd :

« Je ne crois pas du tout en une langue artificielle comme le volapück et l’esperanto »

(ibid).

Madame Rachilde :

« Mais il y a une langue universelle, Monsieur, c’est la langue française.  »

(ibid).

M. Théodore Gartner, professeur à l’université d’Innsbruck :

« Propager, faciliter, encourager l’enseignement des langues française, allemande, anglaise et italienne, soulager le séjour des jeunes étrangers au milieu de ces quatre nations — c’est ce qu’il nous faut faire au xxe siècle. Voilà mon avis. »

(ibid).

M. S. Consoli, prof. Catane :

« Le rôle de langue universelle pour les peuples civilisés peut seulement être rempli, non par une langue ancienne cristallisée, ni par une langue artificiellement formée comme le volapük, mais par une langue vivante, qui, en progressant avec la civilisation, soit à même d’exprimer la pensée moderne : et à telles fins pourrait répondre, si je ne me trompe pas, la langue française ou l’anglaise. »

(ibid).

Ces réponses prises, au hasard, dans une enquête