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LA SOTTISE ESPERANTISTE



I

QUELQUES MOTS


Répondant à un enquêteur, M. Maurice Maindron, écrivait récemment « Je doute fort que le problème, posé depuis le xvie siècle, d’une langue universelle, intéresse en quoi que ce soit ceux d’entre nous dont la carrière, librement choisie, est d’écrire la langue française… » Eh ! bien, ce problème nous doit pourtant préoccuper un instant. Aujourd’hui ceux qui se taisent, ont tort.

Par lâcheté, par complaisance, par snobisme, par indifférence ou simplement pour se venger de