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MON PREMIER AMOUR EN PROSE.

C’est bien tôt pour mourir !
     Lamartine.


S’il m’était permis, comme au temps des préfaces chevaleresques, de donner pour sauve-garde à mon premier amour en prose le sourire d’une seule de mes lectrices, je me souviendrais sans frayeur que


« L’esprit qu’on veut avoir, gâte celui qu’on a »