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Après avoir essayé toutes les manières différentes que nous avions employées depuis que nous nous connaissions, mes désirs survivaient encore à mes forces épuisées : la duchesse, dans un moment passionné, se renverse sur moi les pieds en haut, de sorte que nos têtes se trouvaient placées entre les cuisses l’un de l’autre : elle mit entre ses lèvres ce trait brûlant qu’elle eut voulu engloutir ; sa bouche est semblable à une pompe aspirante ; moi-même j’applique mes lèvres sur celles que j’ai pour perspective : j’en tire la quintescence de la volupté ; ma langue vacille sur son clitoris que je ne quitte un instant que pour la plonger à plusieurs reprises dans la route du parfait bonheur, et y revenir ensuite. Bientôt nos forces nous abandonnèrent, et nous succombâmes sous le poids de cette délicieuse jouissance.

Le lendemain, Agathe vint se mêler à nos plaisirs : nous imaginâmes une autre posture que voici : après nous être mis nus tous les trois, j’étendis Agathe sur le lit, de manière que ses fesses posaient sur le pied et que ses jambes étaient soutenues