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d’entrer dans plus de détails sur les autres poésies de Kleist, et nous regrettons que de pâles analyses ne puissent donner à nos lecteurs qu’une faible idée de ses chefs-d’œuvre. Les contes dont nous donnons la traduction achèveront, au reste, de faire connaître cet homme si bien doué de la nature, et dont la carrière a été si horriblement rompue, tandis que, jeune encore, il promettait, à en juger par ses derniers ouvrages, de prendre une des premières places parmi ses contemporains.


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