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le chien d’or

Elle ne s’en servirait qu’à la dernière extrémité et pour se protéger.

Ce seraient les roses, les roses éclatantes et parfumées qui tueraient la confiante jeune fille ! Elle les savourerait comme un bouquet nuptial et le poison se mêlerait à l’enivrant arôme. La douce mort !

Personne ne devinerait la cause d’une si prompte et si regrettable fin. On dirait de Catherine de St. Castin : Morte par la visite de Dieu !