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L’intégrité absolue
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de l’assemblage 1[1]
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de tous les phénomènes donnés.
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2
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3
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L’intégrité absolue
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L’intégrité absolue
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de la division 2[2]
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de l’origine[3]
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d’un tout donné
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d’un phénomène
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dans le phénomène.
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en général.
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4
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L’intégrité absolue
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de la dépendance de l’existence 4[4]
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de ce qu’il y a de changeant dans le
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phénomène.
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Il faut remarquer ici d’abord que l’idée de l’absolue totalité ne concerne que l’exposition des phénomènes, et que par conséquent elle n’a rien de commun avec le concept purement intellectuel d’un ensemble des choses en général. Des phénomènes sont donc ici considérés comme donnés, et la raison exige l’intégrité absolue des conditions qui les rendent possibles, en tant qu’ils constituent une série, c’est-à-dire qu’elle exige une synthèse absolument (sous tous les rapports) complète, qui permette d’exposer le phénomène suivant les lois de l’entendement.
Ensuite, c’est proprement l’inconditionnel seul que la raison recherche dans cette synthèse des conditions dont la série est régressive, comme elle exige l’intégrité dans la série des prémisses qui réunies n’en supposent plus d’autres. Or cet inconditionnel est toujours renfermé dans la totalité absolue des séries, telle qu’on se la repré-
