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TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES.
SÉLEUCUS, fondateur d’Antioche, 300 ; mari de Stratonice et père d’Antiochus, ibid.
SÉMÉLÉ, mère de Bacchus, personnage mythique, 190 ; savante dans les choses divines, 191.
SÉRÉNIANUS, philosophe cynique, 194.
SERGUJS, converti, 339.
SÉVÈRE au banquet des Césars, 270.
SICILE envahie, 22 ; Constance y envoie des vaisseaux, 64.
SICYONE, célèbre par la source de Pirène, 102.
SIDON, patrie d’habiles brodeuses, 43.
SILÈNE épris de Bacchus, 263 ; se moque de Jules César, ibid. ; se moque d’Octavien, 264 ; raille Tibère, 265 ; se moque de Claude, 266 ; raille Néron,. ibid. ; se plaint aux dieux du : règne trop court de Titus, 268 ; raille Trajan, 268, 283 ; raille Adrien, 269 ; se moque d’Antonin, ibid. ; ne trouve rien à railler dans Marc-Aurèle, ibid. ; se inoque de Valérien et de Gallien, 271 ; ses paroles railleuses à Probus,.272 ; se moque de Maximien, 273 ; ordonne à Neptune de mesurer l’eau de la clepsydre à Trajan et à Alexandre, 275 ; explique ce que sont les jardins’d’Adonis, 285 ; se moque d’Alexandre, 28’5, 286 ; explique à César qu’il n’a pas été aimé du peuple romain, 287 ; pourquoi il appelle Auguste faiseur de poupées, ibid. ; maltràite durement Constantin, 289.
SILÈNES, statuettes auxquelles Alcibiade compare.Socrate, 163, 273.
SILVIA, mère de Romulus, 133.
SIMMIAS, disciple de Socrate, 228.
SIMOKIDE ; ce qu’il entend par un homme carré par la base, 288 ; comment il Joue Apollon, 380.
SINGARA, bataille livrée près de cette ville, 20.
SIRÈNES  ; légende sur leurs ailes, 404.
SIRMIUM :, ville dePannonie, foyer de révolte, 235.
SMICRINÈS, personnage de Ménandre, 302.
SOCRATE place le vrai bonheur dans la vertu, 68 ; n’a pas d’amour-propre, 82 ; Joue des personnages illustres, — 88 ; disait ne rien savoir, 157 ; comparé aux silènes, 163 ; met tout en œuvre pour se connaître, 164 ; engage Criton à mépriser l’opinion du vulgaire, ibid. ;, se sert de la théorie pour arriver à la pratique, 165 ; selon lui, la philosophie est une préparation à la mort, 166 ; choisit le métier de critique, ibid. ; sa vigueur, 208 ; maître de vertu, 209 ; guérit Charmide d’un mal de tête, 210 ; entendait une voix divine, 214 ; détourne Glaucon et Alcibiade de la tribune, 220 ; sa petite maison, 223 ; ne se mêle pointa des affaires publiques, 227 ; ne sait pas gouverner sa maison, ibid. ;’fait plus de bien qu’Alexandre, ibid. ; victime de la multitude, 252 ; comparé à Silène, 273 ; raillé par les poëtes’comiques, 306 ; dit que les méchants ne peuvent nuire à l’homme de bien, 453.
SOLEIL, Dieu ou Roi, 3 et suivantes ; protecteur de Julien, 199 et suivantes ; favorable à : Aurélien, 272 ; image visible d’un être invisible, 325.
SOLON, sage législateur, 219, 226 ; sa eonduite impolitique quand il abolit les dettes, 226 ; converse avec Crésus, 296.
SOPATER, gendre de Jamblique, 385, 402, 422.
SOPHRONISQUE, père de Socrate, 227.
SPARTE, aimée de ses habitants, 357.
SPARTES, guerriers nés des dents du dragon semées par Cadmus, 70.
SPARTIATES ont un régime sévère, 13 ; pourquoi ils n’obéissant pas à leurs rois, 13 ; la forme de leur gouvernement préparait à la vertu, ibid. ; leur sobriété, 14 ; vaincu aux Thermopyles, 83 ; aimaient leur ville natale, 357.
STAGIRE, patrie d’Aristote, 91.
STRATONICE, femme de Séleucus, aimée d’Antiochus, 300.
SURA, questeur de Trajan, 283.