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causera un mal immense. Voilà pourquoi je me suis volontairement rompu sous le poids de cet oiseau. Ému de douleur et de crainte, j’ai mieux aimé sacrifier une seule branche que de compromettre l’arbre tout entier. »

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Ta-tchi-tou-lun, livre XXVII.)