Le commandant Henry, en effet, est mon débiteur depuis 1876 ; je lui ai prêté quelque argent qu’il ne m’a jamais rendu, qu’il me doit encore. Cela explique bien des choses[1].
Et de même, à Grenier, avec plus de violence encore et une menace plus caractérisée contre Henry, pour qu’elle lui soit rapportée :
Quand, pour me perdre et m’achever, le ministre de la Guerre abandonne l’officier, pour chercher dans ma vie privée, et écoute les calomnies intéressées d’un drôle quelconque en épaulettes, et vraisemblablement du sieur Henry, mon débiteur et mon obligé, j’avoue qu’il est hors de mes forces de supporter ce traitement. Si le ministre se refuse à m’entendre et à me mettre à même de lui prouver qu’il a été trompé et qu’il me cause, en acceptant toutes ces calomnies, un préjudice énorme, je dirai quelles accusations ont été portées contre moi, que j’ai demandé à être entendu et que je n’ai pu l’être. Je me demande sous quelle forme présenter cela, par la presse ou le livre[2] ?