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CONCLUSION



Nous avons consacré la seconde partie de ce volume aux différentes œuvres dues aux supérieures qui ont succédé à la Vénérable Mère d’Youville, et qui sont venues, suivant les besoins du temps et les circonstances, donner à la grande pensée de la fondatrice sa complète réalisation.

Notre but, en faisant le dénombrement de tant d’établissements nouveaux et d’entreprises difficiles, a été de mettre en pleine lumière l’action de la divine Providence, rendue si visible et si manifeste par le prodigieux développement de la maison fondée en 1737 par l’humble et pieuse veuve et ses trois compagnes.

Ceux qui ont bien voulu nous suivre dans la longue énumération que nous avons faite des créations nouvelles sorties de cette œuvre, si petite à son origine, admettront, nous n’en doutons pas, que la bénédiction attachée par Dieu à toute œuvre jaillie de son inspiration peut seule expliquer la merveilleuse fécondité de l’Institut des Sœurs de la Charité.