Clients de Cacardasse.Le voyage des
savants de Béziers
touchait à sa
fin. Après avoir
été reçue par quelques
compatriotes
lancés et brillamment
arrivés dans
la politique, la délégation n’avait
pour séjourner à
Paris aucune de
ces raisons qui clouent le bec aux épouses acariâtres.
De plus, le temps des élections approchait et M. Masespatat-Quantébist, qui était un électeur influent, ne se fût pas pardonné de manquer à la veillée des urnes en faveur du sommeil parfumé d’Héliogabale.
Après les champagnes français, les vins allemands et les mélanges américains, il se devait aux « velours » et aux « panachés » des cafetiers de Béziers et aussi aux éternelles parties de jaquet-matador, qui sont encore ce qu’il y a de mieux entre bourgeois et prolétaires pour supprimer les