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un tróne, ou Pégase, ou une cime des Alpes, ou un camp de César, ou un cercueil, il sera presque toujours plus élevé que la chaire du professeur.


Ceux qui redoutent les lumières comme un danger pour les peuples, ressemblent aux per- sonnes qui craignent que la foudre ne tombe sur une maison par les fenêtres, tandis qu’elle ne pénètre jamais à travers les carreaux, mais par leur encadrement de plomb ou par le trou des cheminées qui fument.


On n’a pas besoin de beaucoup moins que de tout pour être heureux et de beaucoup plus que de rien pour être malheureux.


La passion fait les meilleures observations et en tire les plus pitoyables conséquences ;