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ACTE IH. 188 Sera·oe un marine? Eh bien ! quand je commettrais uu crime! Pardieu! je suis un Bbrgia, moi! A genoux, vous diséjel ma tante! A geuoux! r nom LUCREZIA. . Dis—tu en elfet ce que tu penses, mon Gennaro? Est-ce ainsi que tu paies mon amour pour toi? { GENNARO. - Amour !... — - V nom LUCREZIA. C'est impossible. Je veux to sauver He toi-méme. Je vais appeler. Je vais crier. _ I cnmuno. Vous n’ouvrirez point cette porte. Vous ne fc- rez point un pas. Et quant A vos cris, ils ne peu- vent vous sauver. Ne venez-vous pas d’o1·donner _ . vous-méme tout a I’heu1·e que personne n’entrat, quoi qu’on put entendre au dehors de ce qui va se passer ici? DONA LUGRBZIA. _ l isis c’est Iéchc ce que vous faites la, Gennaro! '1`uer une femme, une femme sansldéfense! Oh! I