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‘Zizimi . Monsieur deValentinois s’émim¤pg;i§u‘é"sur“ * ‘parole otage du ménxe enfant Gharles"V1II, mon- sieur de. Vzaientinois sbst ` évdé au camp frengais » des qu’il‘a pu. Vous—méme, vous avie; promis aux ° Pejizupci de leur rendre Sienne. Vous ne l’avez pas

 du faire. Hé! Phistoire des pays est pleiue

u'·u de cela. Ni rois ni nations ne pourraient vivre un _ · _ jour avec la rigidité des serments qulon fiendrait. Entrenous, Alphonse; unepsrole jurée n'est une nécessité que quandiil n’y en a pas d’au·tre.s

DON ALPHONSE.

i . Pourtant, dona Lucreziai, un serment. A

DONA LUCREZIA.

’ ‘ Ne me donnez pas de ces mauvaises raisons-I5. Je ne suis pas une sotte. Dites-moi plutot, mon cher Alphonse, si vous avez quelques motifs d'en _ vouloir A ce Genngro. Non? Eh bienlQag:cordezg7:" V. ' ‘··moi.sa._·vie. Vonis" m’aviez bien aceordé sas mort. l ·Q·u’est-ce queecela vous fait? S’il` me plaii de luis ~ pardonner. .C’est inoi qui suis l'ofl`ensée.

DON ALPHONSE.

C’est justement parce qu’iI vousaoifensée, mon Amour, que je ne vcux pus lui faire gr:-ice.