Page:Hugo - Le Roi s amuse.djvu/336

Cette page n’a pas encore été corrigée

i so Lucntum soscn. d Ceci commence 5 me lasser, et je vous trouve l'air trop grscieux et trop tranquille pendant qu’on trainedausles ruisseaux devotrevillelarenommée de votre femme, déchiquetée a bellesdents parl'in- jureetlacalomnie. Il me faut une réparation écla- L tante de ceci, je vous en préviens, monsieur le duc. i Préparez-vous A faire justice. C’est un événement i

 sérieux qui arrive la, voyez-vous? Est-ce que vous  

i croyezparhosardquejenetiens:&l’estimede personne au monde, et que mon mari peut se dis- p penser d’étre mon chevalier? Non, non, monsei- gneur; qui épouse protege; qui dome la main

 donne lebras. J ’y compte. Touslesjours ce sont de

d nouvelles injures, et jamaisje ne vous en vois ému. Est-ce que cette boue dont on me couvm ne vous éclabousse pas, don Alphonse? Allons , sur mon Ame, courroucen-vous donc un peu , que je vous i voie, une this dans votre vie, vous faiclxer :3 mon sujet, momieur! Vous étes amoureux de moi, dites— vous quelquefois? soyez ·le done de ma gloire. i Vous étes jaloux Psoyez-le de ma renommée! Si j’ai doublé par ma dot vos domaines h&·éditaires;' si je vous ai apporté en mariage, non-seulsment la rose d’or et la bénédiction du SaintgPére, maisce qui tient plus de place sur la surface duzmoude, Sicnne, Rimini, Cesena,·Sp0lctte et Piombino, ' iiigiiiziii ii, Google