ACTE II, PARTIE L 89 i SCENEIL‘ DON ALPHONSE, DONA LUCBEZIA. i DONA LUCREZIA , entrant avec impétuosiité. Monsieur, monsieur, ceci est indigne, ceci est _ odieux, ceci est inféme. Quelqu’un de votre peu- ple, —savez-vous cela, don Alphonse? -—vie1:it de mutiler le nom de votre femme gravé au—dessous de mes armoiries de famille sur la facade de votre propre palais. La chose s’est fite en plein jour, publiquement, par qui? je Pignore, mais c’est- bien injurieux et bien téméraire. On a fait de mon nom un écriteau d’ignominie, et votre populace de Ferrare, qui est bien la plus inféme populace del’Italie, monseigneur, est la quiricane autourp de mon blason comme autour d’un pilori. Est-ce que vous vous imaginez, don.Alpl1onse, que je ’ m’accommode·de oela, et que je n’imerais pas mieuxmourir en une fois d’un coup de poignard qu’en millefois dela piqiire envenimée du sarcasme _ et du quolibet? Pardieu, monsieur,.0n me trite éiiangement dans votre scigncurie dc Ferrare! _ iiigiiiziii ii, Google
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