Page:Hugo - Le Roi s amuse.djvu/149

Cette page n’a pas encore été corrigée

ACTE III, SCENE Ill. 145 Un tas d’8(!CI‘0lSSGHl€lll.S que sans cosse on augmente ! Les regardant tons en faee. · ’ — En est-il parmi vous un seul qui me démente? N’est-ce pas que c`est vrai , messeigneurs? — En effet , Il va de l’un h l’autre. Vous lui vendriez tous, si ce n`est deja fait, · Pour un nom, pour un titre, ou toute autre chimére, ~ A M. de Brion. A Toi , ta femme, Brion! a · · A M. de Garden. 4 Toi , ta smur! _ Au jeune page Pardaillan. Toi, ta mere! · Un pagese verse un verre de vin au bullet, et se met l boire en fredonnant: Quand Bourbon vit Marseille . Il a dit in ses gens : Vrai dieu! que] capitaine .... 1’RIBOULET . se retoumant. I Je ne sais a quoi tient, vicomte d’Aubusson , Que je te brise aux dents ton verre et ta chanson! A nous. Qui le croirait? des ducs et pairs , des grands d’Espagne, O honte! un Vermandois qui vient de Charlemagne , Un Brion, dont l’aieul était duo de Milan, Un Gordes-Simiane, un Pienne, un Pardaillan , Vous, u11Montmorencyl—les plus grands noms qu’on nomme, Avoir été voler sa fille a ce pauvre homme! —Non, il n`appartient point it ces grandes maisons