On s’y amusait décemment.
Il y avait le She romps Club. On prenait dans la rue une femme, une passante, une bourgeoise, aussi peu vieille et aussi peu laide que possible ; on la poussait dans le club, de force, et on la faisait marcher sur les mains, les pieds en l’air, le visage voilé par ses jupes retombantes. Si elle y mettait de la mauvaise grâce, on cinglait un peu de la cravache ce qui n’était plus voilé. C’était sa faute. Les écuyers de ce genre de manège s’appelaient « les sauteurs ».
Il y avait le Club des Éclairs de chaleur, métaphoriquement Merry-danses. On y faisait danser par des nègres et des blanches les danses des picantes et des timtirimbas du Pérou, notamment la Mozamala, « mauvaise fille », danse qui a pour triomphe la danseuse s’asseyant sur un tas de son auquel en se relevant elle laisse une empreinte callipyge. On s’y donnait pour spectacle un vers de Lucrèce,
Il y avait le Hellfire Club, « Club des Flammes », où