Page:Houssaye - La Vertu de Rosine, 1864.djvu/143

Cette page a été validée par deux contributeurs.

donne aux amoureux des indulgences plénières.

Rosine aurait bien voulu déposer sa fourchette pour s’appuyer tout éperdue sur le cœur du jeune homme. Sa joie avait envie de pleurer. La pauvre fille n’avait pas l’habitude du bonheur.