Page:Houdar de La Motte - Œuvres complètes, 1754, tome 9.djvu/259

Cette page n’a pas encore été corrigée


Il voit la paix assise, ainsi qu’une nayade,
Au bord d’une fontaine et sous de verds rameaux.
Ah, te voilà ; dit-il ? J’habite ces hameaux,
Lui répond-elle, avec ce solitaire.
Fort bien, reprit Mercure, à ce que je puis
Voir,
Non plus que nous, l’homme a beau faire,
Il faut être seul pour t’avoir.
Encor avec soi-même a-t-on plus d’une af