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mun à faire des amas cachés, qui en produisant la rareté et la cherté des grains, leur ont donné lieu de revendre à beaucoup plus haut prix qu’ils ne les avoient achetés. Et après avoir fait examiner dans notre Conseil les moyens les plus propres à faire cesser ce désordre, nous avons cru qu’il n’y en avoit point de meilleur, que de suivre la voie que nos Prédécesseurs nous ont tracée par leurs Ordonnance, &c. »