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THÉORIE MATHÉMATIQUE DE LA LUMIÈRE
et en remplaçant
par
,
(2)
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Nous tirons de ces équations
![{\displaystyle {\begin{aligned}(\mathrm {V} ^{2}-a)\mathrm {A} &=i\beta '\mathrm {B} ,\\(\mathrm {V} ^{2}-c)\mathrm {B} &=-i\beta '\mathrm {A} ,\\\end{aligned}}}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/8606e083a3f57273b4a80aeaa9fa5d62ee55ef00)
et en multipliant ces deux dernières nous obtenons
(3)
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Cette équation nous donne deux valeurs pour la vitesse de
propagation de l’onde, et ces valeurs sont réelles, car
étant
très petit,
l’est aussi ; nous aurons donc deux rayons lumineux.
Ces vitesses deviennent égales
quand
on a
Dans le cas général, l’une d’elles est très voisine
de
l’autre de
195. Polarisation elliptique des rayons. — La seconde
des équations (2) nous donne
![{\displaystyle {\frac {\mathrm {B} }{\mathrm {A} }}={\frac {-i\beta '}{\mathrm {V} ^{2}-c}}\,;}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/a10a109272a971c250e6c20b1cd9953e1b3169a7)
elle nous montre que le rapport
est une quantité purement
imaginaire. Si donc nous supposons
réel,
est de la forme
et les parties réelles de
et
qui satisfont aux équa-