Page:Henri Poincaré - Théorie analytique de la propagation de la chaleur, 1895.djvu/247

Cette page n’a pas encore été corrigée

238 REFROIDISSEMENT D*UN CORPS SOLIDE QUELCONQUE satisfaisant aux conditions: à la surface, et: à l'intérieur, A étant une certaine constante. Je dis que celte fonction Y doit être identique à l'une des fonctions : définies au § 125. D'après le théorème du n° 120, V, comme d'ailleurs une fonction quelconque, peut être développée en une série de la forme: de sorte que l'on a: Je dis que V doit être identique à l'un des termes a,Uf de ce développement, les autres termes étant nuls. En effet, s'il n'en était pas ainsi nous aurions deux, déve- loppements différents d'une même fonction en série de fonc- tions harmoniques, car V, par hypothèse, de même que o,-, U,, a2, Ua "... sont des fonctions harmoniques.