248
CHAPITRE V.
d’où
On en déduirait par un raisonnement tout semblable à celui du
no 82 que est fonction de ce qui est contraire
à l’hypothèse faite au début.
2o Ou bien, si le jacobien de quelconques des fonctions
par rapport aux variables et est nul.
On en conclurait que, si l’on donne à et à des valeurs constantes
satisfaisant à la condition (12 bis), il en résulte une relation
entre quelconques des fonctions de telle sorte que
toutes ces fonctions peuvent s’exprimer à l’aide de d’entre elles.
On peut énoncer encore ce résultat d’une autre manière :
Considérons les expressions suivantes
(14)
|
|
|
Si l’on suppose que l’on donne à et des valeurs constantes
satisfaisant à l’équation (12 bis), ces expressions (14) dépendent
de variables seulement, à savoir des et des
S’il existe une intégrale uniforme, toutes ces expressions sont des
fonctions de d’entre elles ; ou, en d’autres termes, on peut
trouver une relation entre quelconques d’entre elles.
Quelle est la condition pour qu’il existe trois intégrales uniformes distinctes
Soient et ce que deviennent ces trois intégrales pour
On démontrerait, comme plus haut, que l’on peut toujours
supposer qu’il n’y a aucune relation entre et
On trouverait ensuite, en posant
que l’on a
(13 ter )
|
|
|