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Il résulte de là que ;2 et peuvent dépendre seulement de a. etdeP;2etmlseulementde etdeQ; et n1, seulement deyetdeR. Les conditions d'intégrabilité nous donnent ensuite, On trouverait de même Ainsi çp 1, l1, mp n1, ne pourront dépendre respectivement quedea,,v;P,Q,R. Les conditions d'intégrabilité donnent enfin, c'est-à-dire que 2, 2, l1, m1, ni devront se réduire à un même facteur près à P, Q, R

—,

— j3, — y. Ce facteur constant devra d'ailleurs être une fonction linéaire et homogène de ç, , . Mais si nous faisons intervenir une condition nouvelle, celle de l'isotropie, nous verrons que ce facteur constant doit être nul; car si ce facteur s'écrivait par exemple. 1+ ~+~ 3, la direction dont les cosinus directeurs sont proportionnels à 1, 2,3 jouerait un rôle prépondérant. Il résulte de là que les termes complémentaires 2, l1, m1, n1, doivent être nuls. Ainsi la théorie de Hertz est la seule qui soit compatible avec le principe de la conservation de l'électricité et du magnétisme et avec celui de /'égalité de l'action et de la réaction.